UN NOUVEL AUTEUR CADURCIEN,UN ANCIEN,LE SALON DU LIVRE

Le docteur Bernard Gluckler qui fut maire-adjoint de Bernard Charles s'est lancé,lui aussi, dans la rédaction d'un ouvrage qui paraitra en librairie dans un mois.Ce livre dans lequel il évoquera,dit-on,son métier de médecin cadurcien et probablement ses réflexions sur une vie au service de ses concitoyens est publié chez jean-claude Delmas à Publifusion et figurera au premier salon du livre de Cahors qu'organise Gisèle Venries,début février.

Tous ses collègues du conseil municipal appréciaient  ce médecin renommé et aimé.Nous attendons impatiemment son premier ouvrage qui devrait intéresser les cadurciens et les lotois.

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Jacky Bénac journaliste et écrivain publie lui aussi son dernier ouvrage,1500pages consacrée à Jean Moulin(c'est le second sur jean Moulin),chez un grand éditeur parisien,en septembre.Ecrit à partir des documents à présent accessibles il devrait apporter un regard  neuf sur le héros de la Résistance.Jacky vit à Cahors depuis quelques années,retrouvant la ville de son enfance.Son nouveau travail devrait faire du bruit!

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Le salon du livre a bien eu lieu.Ce fut un franc succès:plus de 2000 visiteurs ,de bonnes conférences,une émission de radio et une très belle expo sur l'arrivée chez nous des Républicains espagnols dont il reste encore de nombreux témoins.

J'ai entendu Moïse Martin et  Anna Holgado,deux cadurciens bien connus et aimés.Je me suis souvenu d'Arturo,le républicain aragonais réfugié dans ma ferme natale et de tant d'autres qui sont devenus lotoises et lotois après tant de souffrances...

J'entends encore Michel de Just me racontant au"Rendez-vous",très peu de temps avant qu'un cancer du poumon ne l'emporte,la vénération qu'il portait à cette grande dame noire qui fut sa mère et qu'il vouvoyait encore,à la fin de sa vie.Ce professeur de philosophie, un temps Grand Maître de la Grande Loge de France,dégustant avec moi une dernière bouteille de Cahors,savait qu'il vivait ses derniers jours.Il éprouva le besoin de me dire le départ de sa mère quittant sa patrie,sa robe noire cachant ses bijoux,et son père,vice-président du gouvernement républicain lui disant:"Non Madame,ces bijoux appartiennent à l'Espagne.Il faut les laisser ici!..."

Peu de gens croyaient au succès du salon.Merci à toutes celles et à tous ceux qui l'ont permis.



07/01/2006
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