Le mot a été forgé par Franz-Olivier Giesbert, hier matin lors de son interview par Sonia Mabrouk sur CNews.Cela désigne bien ce phénomène de fixation de la politique française autour du conflit à Gaza.

 

LFI en a fait une fixette, un intérêt spécifique, comme le disent les psychiatres, pour parler des troubles autistiques.

Le Keffieh fait partie du dress code obligatoire du LFIste, le drapeau palestinien est l’unique oriflamme de ses rassemblements.

LFI s’efforce d’imposer le mot génocide pour parler des pertes civiles en oubliant que celles de la deuxième guerre mondiale n’ont pas eu cette qualification.

Cela évite d’aborder les sujets sur lesquels LFI n’a rien à dire comme la désertification des zones rurales.

Cela permet surtout de racoler l’électorat musulman. Hassan II disait que la Palestine était « l’aphrodisiaque du monde arabe ».

L’arraisonnement du bateau de Rima Hassan par la marine israélienne a permis à Mélenchon de meubler le lundi de Pentecôte avec une manif entre potes.

Hélas pour eux, les manifestants n’avaient pas reçu, comme les apôtres à l’époque, le don des langues.

Ils n’en parlaient qu’une, celle du Hamas.

 

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Claude Juskiewenski