En cette journée de la femme(le 8 mars)je pense à deux d'entre elles qui souffrent tandisque la presse évoque ce matin le procès, au Maroc,de l'assassin d'un petit Benjamin,enterré au cimetière de Mechmont en février dernier.Ces deux femmes ce sont sa mère et sa grand mère qui appartiennent toutes les deux à une famille de Mechmont ,installée à Espère et Montauban, liée à la mienne,par l'amitié , depuis des décennies.
Une foule immense,consternée,silencieuse assista bouleversée à sa mise en terre dans le cimetère du petit village.Ces amis et voisins ne constituaient alors qu'un seule famille réunie autour des parents et alliés,très dignes malgré leur terrible malheur.
Le petit Benjamin a été assassiné au poignard,après l'agression de sa mère,sous les yeux de sa famille,en voyage à Fez,dans la médina,par un fou drogué,dit on au Maroc,plus
vraisemblablement par un individu manipulé par des islamistes instigateurs du crime.C'est ce que veulent prouver les avocats de la famille.

Le tribunal marocain vient de renvoyer cette affaire au 15 mai à la demande du père de Benjamin et de ses avocats.Mais celui-ci se plaint que les magistrats refusent d'entendre les témoins qui sont en mesure de trouver la vérité.Le père craint que les réligieux qui ont armé le bras de l'assassin ne soient pas inquiétés.On ne peut que soutenir cette famille dans sa recherche de la vérité.