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3006-Ces députés qui lorgnent sur le perchoir

    Qui pour succéder à Yaël-Braun Pivet à l'Assemblée ? Ces députés qui lorgnent sur le perchoir

    Politique. L’élection du président de l’Assemblée nationale, jeudi 18 juillet, pourrait décanter le marasme politique français. Si les députés parviennent à s’entendre sur un nom, une coalition aurait des chances d’émerger.

    Par Louis Mathieu L'Express
    Publié le 13/07/2024 à 10:30
     
     
     

     

     

     

    L'hémicycle de l'Assemblée nationale, à Paris, le 8 juillet 2024

    L'hémicycle de l'Assemblée nationale, à Paris, le 8 juillet 2024.

    afp.com/Bertrand GUAY

     

    Une "clarification réelle" de la situation politique. C’est en tout cas ce qu’espère Emmanuel Macron à l’issue de l’élection du président ou de la présidente de l’Assemblée nationale, prévue le 18 juillet. Cette personnalité, désignée par ses pairs, pourrait faire figure d’unité dans un hémicycle fragmenté.

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    Les élections législatives anticipées, les 30 juin et 7 juillet, ont débouché sur une tripartition de la chambre basse du Parlement. Le barrage républicain a fait de la gauche, d’une courte tête, la première force politique de l’Assemblée nationale avec 196 sièges, selon les chiffres du Cevipof. Il a permis de sauver le bloc présidentiel (173 sièges) et de limiter les ambitions du Rassemblement national et de ses alliés (143 sièges). Aucune majorité forte ne se dégage, empêchant la formation de tout gouvernement.

     

    L’une des premières tâches de XVIIe législature sera néanmoins de s’accorder sur un nom pour désigner le futur occupant du perchoir. Que des députés de formations politiques différentes arrivent à un consensus permettrait ainsi d’ouvrir la voie à une coalition pour former un gouvernement stable, espère le président. Voici les pressentis pour siéger au perchoir du palais Bourbon.

    Yaël Braun-Pivet : candidate à sa propre succession

    La présidente de l'Assemblée nationale Yael Braun-Pivet, le 5 mars 2024 à Paris

    "Si Yaël Braun-Pivet y va, on ne fera pas barrage", affirme un cadre du parti Horizons.

    © / afp.com/Emmanuel Dunand

    "Si Yaël Braun-Pivet y va, on ne fera pas barrage", affirme un cadre du parti Horizons, selon des propos rapportés par Le Parisien. Un temps envisagée, la candidature de l’élue philippiste Naïma Moutchou (4e circonscription du Val-d’Oise), reste encore à l’état d’hypothèse. De son côté, le MoDem n’a - pour le moment - pas présenté de candidats. La dynamique semble donc sourire à la présidente sortante, Yaël Braun-Pivet, qui pourrait rassembler derrière elle tous les éléments de la Macronie.

     

    Député de la 5e circonscription des Yvelines depuis 2017, présidente de l’Assemblée nationale sur les deux premières années du mandat d’Emmanuel Macron, Yaël Braun-Pivet s’est fait un nom dans la Macronie. Pourtant, elle n’était pas la favorite du président pour succéder à Richard Ferrand - il lui préférait Roland Lescure, l’actuel ministre délégué chargé de l’Industrie de France. Elle n’a pas hésité à exprimer son désaccord avec Emmanuel Macron à la suite de la dissolution.

    ��️ INFO : Yaël Braun-Pivet candidate à sa propre succession comme présidente de l'Assemblée nationale ? "Pendant 2 ans, j'ai montré que j'étais capable de gérer une Assemblée sans majorité. Si je peux y être utile, je le serai." #Les4V #legislatives2024 pic.twitter.com/XLMsJ8tsrE

    — Telematin (@telematin) July 8, 2024

    "Il y avait un autre chemin, celui d’une coalition, le Président a estimé en conscience que ce chemin n’existait pas. Je prends acte de cette décision", déclarait-elle à Télématin, le 10 juin dernier, au tout début de la campagne des législatives anticipées. Et Yaël Braun-Pivet n’a pas dit son dernier mot. Jeudi 11 juillet elle assurait sur France 2 : "Pendant deux ans, j’ai montré que j’étais capable de gérer une Assemblée sans majorité. Si je peux y être utile, je le serai."

     
     

    Sandrine Rousseau, candidate autoproclamée

    Sandrine Rousseau le 3 août 2022 à l'Assemblée nationale.

    Sandrine Rousseau a annoncé sa candidature pour présider l'Assemblée nationale, lundi 9 juillet, au micro de Sud Radio.

    © / Alain JOCARD / AFP

    Figure très médiatique, membre du parti Europe Ecologie Les Verts, Sandrine Rousseau a annoncé sa candidature pour présider l’Assemblée nationale lundi 9 juillet, au micro de Sud Radio. "On a tenu, on est responsables, on est solides", défendait la députée de la 9e circonscription de Paris, à propos de l’alliance de gauche. Devant Jean-Jacques Bourdin, elle a promis que le NFP désignerait un candidat "consensuel" pour le poste de Premier ministre.

     

    Sa candidature au perchoir pose à nouveau cette question de l’unité au sein de l’alliance. "Ça relève des mêmes équilibres [NDLR : que ceux de la nomination du candidat NFP à Matignon]", s’est-elle empressée de rajouter après avoir d’abord répondu par l’affirmative à la question : "Est-ce que vous pourriez être candidate à la présidence de l’Assemblée nationale ?".

    "Je pense que je respecterais bien plus les équilibres démocratiques que ça n’a été fait jusqu’à présent", a-t-elle poursuivi, se projetant d’ores et déjà dans la fonction.

    Cyrielle Châtelain, garante de l’unité du Nouveau Front populaire ?

    La cheffe de file des députés écologistes, Cyrielle Chatelain, s'adresse au gouvernement à l'Assemblée nationale à Paris, le 30 mai 2023

    La cheffe de file des députés écologistes, Cyrielle Chatelain, s'adresse au gouvernement à l'Assemblée nationale à Paris, le 30 mai 2023

    © / afp.com/Alain JOCARD

    "L’extrême droite n’est pas compatible avec la République. Le Rassemblement national ne doit occuper aucun poste dans cette Assemblée nationale", cinglait Cyrielle Châtelain devant le Palais Bourbon, ce 9 juillet. "Chatelain émerge comme candidate de consensus. Elle constitue un point d’équilibre entre socialistes et insoumis. Si c’est Chatelain, on a plus de chances que si c’est Panot", assure un cadre des Verts, dans les colonnes du Parisien.

    @lexpress

    � Qui sera Premier ministre ? C’est la question que tout le monde se pose. Mais ce n’est pas la bonne. Notre journaliste Olivier Pérou, du service Politique de L’Express, vous explique. #politique #france #législatives #macron #newsattiktok #tiktokacademie #Sinformersurtiktok #newsattiktok

    ♬ original sound - L’Express - L’Express

    Pour le moment, la présidente du groupe parlementaire Les Ecologistes dans la législature précédente n’a pas souhaité confirmer. "On n’en a pas encore discuté. Le moment n’est pas aux destins individuels mais au collectif", poursuivait la députée de la 2e circonscription de l’Isère. Soutien d’Eric Piolle en 2021, lors de la primaire des Verts pour la présidentielle, elle est arrivée dans l’hémicycle en 2022. En battant le candidat macroniste sortant, elle a contribué à défaire Emmanuel Macron de sa majorité absolue.

    Charles de Courson, le trublion de la réforme des retraites

    Charles de Courson, membre du groupe indépendant Liot, le 20 mars 2023 à l'Assemblée nationale, à Paris

    Charles de Courson, membre du groupe indépendant Liot, le 20 mars 2023 à l'Assemblée nationale, à Paris

    © / afp.com/BERTRAND GUAY

    Député du groupe parlementaire Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (Liot) dans la précédente législature, il a été l’un des acteurs derrière la motion de censure qui a menacé de faire tomber le gouvernement lors de la réforme des retraites."

     

    Il a annoncé sa candidature dans une interview accordée au Parisien. Ses passes d’armes avec le gouvernement pendant la réforme des retraites pourraient attirer la sympathie des élus de gauche. Lui aussi s’est déjà projeté nichant au perchoir. Son ambition : "renforcer le Parlement" et "garantir enfin son indépendance par rapport à l’exécutif".



    14/07/2024
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