842-L'invité du jour 11 posts

Nous ne pouvons pas laisser Sarkozy salir l'image de la France", a lancé Poul Nyrup Rasmussen, citant "le discours de Dakar" de 2007 ou "les expulsions de Roms" qui ont provoqué en septembre une crise avec la Commission européenne.  

"Nous ne pouvons pas laisser Nicolas Sarkozy dire qu'il a relancé la construction européenne", "nous ne pouvons pas laisser Nicolas Sarkozy faire continuellement des effets d'annonce", a-t-il lancé devant plusieurs centaines de délégués socialistes venus entériner le projet de politique étrangère du PS.  

Qualifiant la droite européenne "d'axe du mal moderne", il a fustigé "l'Europe de la droite", celle du "marché sans âme, sans coeur". Poul Nyrup Rasmussen, président danois du PSE réélu en 2009, a salué le projet international du PS, qualifié d'"excellent".  

"L'Europe de la gauche, c'est l'Europe sociale, l'Europe protectrice, l'Europe innovante", a-t-il déclaré. Poul Nyrup Rasmussen a également fait part de ses voeux de rétablissement à la patronne du PS Martine Aubry, absente pour raisons médicales.  

"Martine fait un travail formidable de première secrétaire. Quand elle est là, elle fait la différence", a-t-il lancé. Mme Aubry, qui souffre d'une problème ophtalmologique récurrent, s'est mise en congé pour quelques jours.   L'EXPRESS.fr

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Colloque 
Lois anti-terroristes 25 ans d'exception
Tarnac, un révélateur du nouvel ordre sécuritaire


LUNDI 18 OCTOBRE 2010   9h30 - 18h00
ASSEMBLÉE NATIONALE  (Salle 6217)


« Juridictions d'exception ou lois d'exception, nous n'avons pas à les supporter, ni à les conserver. Elles sont inutiles, précisément du fait de leur caractère exceptionnel. Elles sont dangereuses au regard de notre liberté. Elles sont, enfin, détestables pour l'esprit même de nos lois »  
Robert Badinter  1981, Garde des Sceaux.


9h30 Accueil 

10h00 à 11h30 : 1ère TABLE RONDE
Contexte des lois antiterroristes 

Modérateur : André Vallini, Député

En réponse à telle ou telle circonstance exceptionnelle, depuis 25 ans se sont accumulées dans le droit toutes sortes de dispositions, de procédures, d'instances, de dérogations visant à "lutter contre le terrorisme". À l'épreuve, il apparaît que ces exceptions ont une fâcheuse tendance, une fois admises, à contaminer l'ensemble du droit, devenant le modèle de nouvelles normes juridiques toujours plus menaçantes. Depuis le Patriot Act, cette logique a trouvé son point de référence mondial, vers quoi un grand nombre d'Etats semblent tendre. Comment analyser cette évolution ?

- William BourdonAvocat
- Hélène FlautreDéputée européenne; Membre de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieurs au Parlement européen
- Jean-Claude PayeSociologue
- Serge PortelliMagistrat



11h30 à 12h30 : Conférence de presse avec les défenseurs
       Jérémie Assous, W. Bourdon, Th. Lévy

12h30 à 14h15 Déjeuner      


14h30 à 16h00 : 2ème TABLE RONDE
Gouvernance et terrorisme

Modérateur : Patrick Braouezec, Député

Ce que l'on nomme de nos jours "démocratie" s'est souvent accommodé, du moins tant que leurs activités restaient marginales, d'organes non soumis à ses critères, comme les services secrets ou de renseignement. Or il semble que, sous couvert de lutte contre le terrorisme, de protection de l'Etat et des populations, ces organes soient en train de prendre une importance et une autonomie nouvelles. Tarnac peut être vu comme un exemple de ce qui se passe lorsque le renseignement fusionne avec le judiciaire. Comment peut-on nommer un régime qui traite comme "terroriste" toute opposition radicale ? A l'inverse, quel est le rôle de la "menace terroriste" dans les nouvelles façons de gouverner ?

Alain BrossatProfesseur de philosophie                               
- Jean-Claude MonodChercheur au CNRS
Gilles SainatiMagistrat
Carlo Santulli, Professeur de droit


16h00 à 18h00 : 3ème TABLE RONDE
Que pouvons-nous opposer à l'exception antiterroriste ?

Modérateur : Noël Mamère, Député

C'est le plus souvent par souci de "l'efficacité", des "résultats",  que l'on justifie l'entrave aux grands principes du droit, quand ce n'est pas par l'émotion du moment. Quelle est cette "efficacité" dont se prévaut "l'exception" antiterroriste ? Que seraient des principes qui ne se laisseraient pas constamment contourner et rejeter au rang de vieillerie par l'excuse de l'efficacité ?  Au nom de quoi, et comment, s'opposer au démantèlement en cours de l'ordre juridique ?

Jean-Pierre DuboisPrésident de la Ligue des Droits de l'Homme
- Matthieu Bonduelle, Secrétaire Général du Syndicat de la Magistrature
Antoine ComteAvocat

Conclusion
Thierry LévyAvocat
Edwy PlenelMedia-Part

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*** Informations pratiques ***

Pour assister au colloque : Rendez-vous sur un des liens suivants pour confirmer votre présence : 

Je confirme ma présence au colloque le matin

Je confirme ma présence au colloque l'aprés-midi

Je confirme ma présence au colloque toute la journée


Une pièce d'identité est requise pour entrer à l'Assemblée Nationale.
Il est conseillé de venir avant l'heure dite du fait des formalités à l'entrée


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Posté par walterlewino dans : POLITIQUE , 1 commentaire

bagarrebelge.jpg

Scène ordinaire à l'UMP, le combat Xavier Bertrand-Jean-François Copé
sur le blog de walterlewino: http://walterlewino.unblog.fr/tag/politique/


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dessin de Odeïde LePost




C'est le JOUR DE L'AN REVOLUTIONNAIRE,

alors tous à la MANIF REPUBLICAINE !

 jean-Victor Joubert et son blog        L'AntiFadas

http://lantifadas.midiblogs.com/


 

Revolution-Delacroix.gif

 

 

Primidi 1er Vendémiaire de l'An 219 ! C'est le Jour de l'An ! Et c'est le jour du Raisin. Alors bonne année révolutionnaire à tous et débouchons un de ces merveilleux flacons du jus de la treille pour fêter l'an qui vient. Faisons mieux encore en étant nombreux, très nombreux à descendre dans la rue pour fêter cet événement en participant à la grande manifestation de défense des acquis républicains.


Lorsque les Sans-culottes - c'est-à-dire le Peuple, les pauvres, les laborieux, les exploités d'un système de castes, de privilèges, d'INJUSTICE – prirent la Bastille, ce bastion de l'arbitraire, ils considérèrent ce jour comme le premier jour de l'An I de l'Ère de la Liberté. Mais c'est en l'an IV de cette ère de la liberté, le 22 septembre1792, que la Convention nationale décréta que « Tous les actes publics sont désormais datés à partir de l'an I de la République ».  Le22 septembre 1792 est donc considéré comme étant le premier jour de l'« ère des Français ». Pour les années suivantes, le premier jour de l'année serait celui de l'équinoxe vrai à Paris (ce qui tombait entre le 22 et le 24 septembre selon le calendrier grégorien).


L'année du calendrier républicain est découpée en douze mois de trente jours chacun (= 360 jours), plus cinq à six jours (selon les années) ajoutés en fin d'année pour qu'elle reste alignée avec l'année tropique(~365¼ jours), ce sont les « sans-culotides ». Chaque mois est découpé en trois décades de dix jours.


Les noms des mois et des jours – bucoliques et poétiques - furent conçus par le poète Fabre d'Églantine avec l'aide d'André Thouin, jardinier du Jardin des Plantes du Muséum National d'Histoire Naturelle.

 Sources: Wikipedia

TOUS A LA MANIF !




46 - Lot
Cahors -> 14h30, place F. Mitterrand
Figeac -> 14h30, devant le lycée Champollion
Biars sur Cère -> 10h30, parking de la gare


Dès la mi-journée, l'Elysée s'est satisfait des premiers chiffres sur la mobilisation...

chimulus sur www.lepost.fr


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« Le système de santé de plus en plus inégalitaire »


de la part de Lucien Jallamion

 

Pour contenir le déficit de l'assurance maladie en 2011, le Gouvernement de Nicolas SARKOZY transfère son financement sur les plus défavorisés ; car, qui dit transfert de charges vers les assurances complémentaires dit report sur les assurés, et donc cotisations en hausse. Pour mémoire, l'Etat a remboursé 679 millions d'euros aux bénéficiaires des largesses de Sarkozy au titre du bouclier fiscal, cet argent n'aurait-il pas été mieux dépensé pour la protection sociale ?

Le risque, c'est que les Français, qui sont 93 % à détenir une complémentaire, décident de revoir à la baisse leurs garanties pour payer un peu moins cher, voire s'en détournent définitivement.

 

République et Socialisme dénonce une fois de plus une atteinte à l'assurance maladie solidaire et universelle.

 

 

« L'Hôpital va mal »

 

Une grande partie des hôpitaux a vu ses EPRD (Etat prévisionnel des recettes et des dépenses) rejetés par les ARS (Agences régionales de santé). Cela veut dire que les directions ne peuvent que présenter des budgets déficitaires et trouver des moyens d'économie. Lorsqu'on sait que 75% du budget de fonctionnement c'est le personnel, on voit rapidement sur qui va retomber les efforts. Il faut que l'Etat prennent ses responsabilités.

La politique du gouvernement (T2A (tarification à l'activité) loi HPST…) mène l'hôpital droit dans le mur !

 

République et Socialisme rappelle que seul le service public hospitalier est garant d'un accès aux soins  pour tous sans distinction d'origine sociale.

 

République et Socialisme milite pour un Service Public Hospitalier à la hauteur de ses ambitions parce que la Santé n'est pas une marchandise, l'Hôpital pas une entreprise.

 

République et Socialisme sera aux cotés de ceux qui souhaitent garder un système public hospitalier de qualité et de proximité !

 

 

« La Médecine du travail est menacée »

 

La réforme de la médecine du travail voit finalement le jour lors de l'examen du projet de loi sur les retraites. C'est encore un coup porté aux salariés. Les nouvelles dispositions sont inacceptables, notamment parce qu'elles placent les médecins du travail sous la coupe des patrons. C'est une remise en question de l'indépendance des professionnels de santé. Qu'en sera-t-il demain ?

 

République et Socialisme affirme que l'évaluation des risques doit rester indépendante, la gestion des risques étant, elle, de la compétence de l'employeur…

 

 

Bruno VALENTIN Secrétaire National à la Santé

République et Socialisme

 

 

Contact : webmaster@republiqueetsocialisme.fr

Site : www.republiqueetsocialisme.fr









23/09/2010
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