672-Méfions nous des apprentis sorciers 38 posts
Perception de Cazals-Salviac : la défense du service public réunit les lotois
Après la défense de La Poste, Nouvelle manifestation d'élus devant la Trésorerie Générale à Cahors.
Au milieu des élus du secteur, le sénateur Jean Milhau,Yves Périé conseiller général. Photo DDM, Marc Salvet.
Slogans entendus : « La Poste est aux citoyens » ; « Touche à ma poste ». Photo DDM, Marc Salvet Merci à La Dépêche du midi. ladepeche.fr
Edito:
Les sénatoriales ont montré que les divisions se paient très cher;il suffit de regarder l'Hérault ou la Haute-Garonne.L'union et la bonne entente font des miracles comme en Aveyron et en Corrèze.Je renvoie les visiteurs aux commentaires de" La terrasse du bistrot".Saluons les bons résultats de nos voisins et amis et le retour de Jean-Pierre Chevènement.
Hier fut marqué par le débat à l'Assemblée nationale,sur la présence de nos troupes en Afghanistan.Je ne croyais guère à leur retrait immédiat.Il va pourtant falloir sortir de ce piège comme le souhaitent nos compatriotes.Il n'est pas sûr,comme l'affirme Fillon,que notre sécurité se joue là-bas où le combat a changé de nature et d'âme.Au moins faut il donner à nos soldats les moyens nécessaires pour faire face.Ce sera fait.C'est bien la preuve que cela n'était pas.
Nous reviendrons sur la crise économique et financière.Aujourd'hui à Cahors et partout la gauche manifeste pour sauver le service public de la Poste.Si la réaction est trop molle les choses seront vite réglées.Il en va du service puiblic à la française.S'il faut savoir compter,nous avons appris que la logique comptable ne suffit pas.Quand on pense que Lehmann Brothers a conseillé GDF/Suez pour la fusion on a quelque raisons de se méfier des apprentis sorciers!...
"Un séisme financier fait vaciller l'ensemble du système bancaire international et, au-delà, l'économie mondiale. Et, malgré cela, le gouvernement français persiste à vouloir privatiser La Poste.
L'administration américaine «nationalise» des pans entiers de la finance pour éviter la débâcle, mais l'État français, lui, est prêt à céder au privé une partie au moins d'un service public auquel les Français sont attachés. Et, avec lui, la banque des classes moyennes et des tout petits épargnants."Marianne