652-Sacre ou massacre? 5 posts

MRC


Le congrès du MRC au Kremlin-Bicêtre ,val de Marne.500 participants.Jean-Pierre Chevènement qui veut réunir la gauche dans un grand parti a été élu Président.

Les photos du congrès du MRC du Kremlin-Bicêtre










sn2.jpg
Le secrétariat national du Mouvement Républicain et Citoyen

Secrétaires nationaux :
1. Coordination : Jean-Luc Laurent
2. Diffusion des idées et formation - Ecole de Cadres : Marie-Françoise Bechtel
3. Relations extérieures : Georges Sarre
4. Elus : Etienne Butzbach
5. Relations avec le Parlement : Christian Hutin
6. Porte-parole : Pierre Dubreuil
7. Porte-parole : Catherine Coutard
8. Syndicats – Mouvement associatif : Claude Nicolet
9. Finances : Yves le Hénaff
10. Trésorerie : Christophe Bénavides
11. Relations internationales : Sami Naïr
12. Droit des Femmes : Aimée Gourdol
13. Université d'été, Projet et prises de position du parti : Patrick Quinqueton
14. "Citoyens Actualités" : Dominique Vial
15. Fédérations : Béatrice Desmartin
16. Communication, Idées, rayonnement local : Julien de Verrières
17. Elections : Guillaume Vuilletet
18. Développement du parti (en liaison avec les secrétaires nationaux en régions): Renée Rémy
19. Education : Michel Vignal
20. Etudiants : Eléonore Perrier
21. Jeunesse : Eric Martin
22. Citoyenneté : Rachid Adda
23. Santé et protection sociale : Ladislas Polski
24. Environnement, énergie : Gérard Pierre
25. Agriculture : Michel Sorin

Secrétaires nationaux au développement du parti dans les régions :
Déjà titulaires :
Claude Nicolet, Nord
Michel Sorin, Grand Ouest
Ladislas Polski, Midi méditerranéen
Dominique Vial et Catherine Coutard, Rhône Alpes

6 nouveaux :
Maurice Schwartz, Grand Est
Thierry Cotelle et Josette Robert, Sud-Ouest
Jean-Marc Miguet, Auvergne
Denis Durand, Centre
Serge Lezement, Normandie

Délégués Nationaux :
Outre Mer : Pascal Basse
Nouvelles technologies : Jean-Christophe Frachet
Transports : Jean-Luc Gary
Culture : Sébastien Zonghero
Décentralisation : Françoise Bouvier
Proche et Moyen-Orient : Bertrand Dutheil de la Rochère
Services publics : Jean-Claude Chailley
Aménagement du territoire : Thierry Lucas



La stratégie AUBRY

Martine Aubry est lucide. Elle confiait hier soir : "il y a eu François Mitterrand, puis Lionel Jospin et Laurent Fabius qui se sont fait la guerre durant presque 15 ans. Il y a  maintenant six ou sept personnalités au sein du PS qui peuvent prétendre au premier rôle à la tête du PS comme lors de la prochaine campagne  présidentielle. Ils n'ont pas de  réelles divergences idéologique.Il est donc très difficile de les départager."


 

Martine Aubry pense avoir une carte à jouer et pouvoir prendre la responsabilité du parti  en proposant aux autres prétendants le marché suivant : quel que soit le candidat socialiste en 2012, il aura besoin d'un parti efficace. Laissons tous nos ambitions présidentielles aux vestiaire durant deux ans. Remettons ce parti sur les rails. Il sera alors temps pour chacun de jouer sa partition personnelle.



Pour réussir le maire de Lille compte sur plusieurs facteurs :


L'affaiblissement de Ségolène Royal et le glissement optique à la droite du parti du maire de Paris après la publication de son livre «  De l'audace ».


Le danger tant pour Bertrand Delanoë que pour Ségolène Royal d'un échec dans la conquête du parti qui aurait raison de leur  ambition présidentielle.


Elle espère que la progression durant l'été de ce raisonnement pourrait engendrer un mouvement qui lui permettrait d'entrer dans le  congrès de novembre en futur Premier secrétaire  afin d'éviter que  cette réunion du sacre ne tourne au massacre selon le mot de son amie Maryse Le Branchu.

Piere-Luc Séguillon.



Fabius:
non au libéralisme, oui à la puissance publique

 Le député PS de Seine-Maritime Laurent Fabius a présenté mardi sa contribution au congrès de Reims en novembre, intitulée "reconstruire à gauche", qui prône un "socialisme solide, crédible, audible" avec une forte présence de la puissance publique.


M. Fabius a exposé ses idées lors d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale, entouré de ses amis, dont le président de la commission des finances Didier Migaud, et avec le soutien de non-fabiusiens qui l'avaient rejoint en 2005 (les ex-ministres Marie-Noëlle Lienemann et André Laignel, le député des Landes Alain Vidalies, issu du courant poperéniste).


Selon le texte de la contribution, "le libéralisme économique, loin d'être une solution, aggrave les crises" et il faut emprunter un autre chemin que "la social-démocratie traditionnelle" qui "est en difficulté", à en juger par ses résultats électoraux récents.


M. Fabius reprend à son compte le concept de Dominique Strauss-Kahn de "socialisme de la production". "Nous ne pouvons répartir correctement les richesses si nous ne parvenons pas à mieux - et parfois davantage - produire".


Il préconise une puissance publique active : création d'"un Fonds souverain France" qui prendrait des participations dans "les industries stratégiques" et, au niveau européen, lancement de "grands emprunts" pour des projets dans les transports et l'énergie, "protection commerciale ciblée pour rééquilibrer les conditions de concurrence entre pays émergents et européens".


L'ex-Premier ministre défend la mise en place "d'écluses écologiques", taxes énergétiques pour les produits polluants et d'une "clause de sauvegarde sociale, qui interdise qu'une directive européenne puisse avoir pour conséquence un recul social dans un pays".


Rappelant que Ségolène Royal avait, dans l'entre-deux tours de la présidentielle, envisagé de nommer le centriste François Bayrou Premier ministre en cas de victoire, M. Fabius se prononce plutôt pour "une stratégie de rassemblement de la gauche".


Il estime que les contributions parallèles des Reconstructeurs - celles des strauss-kahniens et d'Arnaud Montebourg d'une part, de Martine Aubry d'autre part, outre la sienne - "ont vocation à converger au moment du dépôt des motions", à la mi-septembre.


"Nous voulons un congrès de débat, et pas un congrès de pugilat" entre présidentiables, a encore affirmé M. Fabius.

















        










Bondyblog



« Bienvenue à Meaux, Madame Amara. » Des habitants de cette ville de Seine-et-Marne accueillent la ministre Christine Boutin et sa secrétaire d'Etat, Fadela Amara. Elles sont suivies de près par le maire (UMP) de la ville, Jean-François Copé et par le premier ministre François Fillon. Présents, également, les ministres de l'éducation nationale et de la culture, Xavier Darcos et Christine Albanel. Tous sont venus ce vendredi pour assister au Comité interministériel des villes (CIV), seconde étape du plan Espoirs banlieues élaboré par Fadela Amara et dévoilé le 8 février dernier à l'Elysée par le président de la République. Après trois reports, pour cause « d'agendas chargés », le CIV est enfin réuni. Le premier conseil interministériel « depuis 1986 », précise Nadine Morano, secrétaire d'Etat à la famille.

A Meaux, « où la délinquance et le taux de chômage ont baissés », dixit Jean-François Copé, où les bâtiments sont beaux et neufs « grâce à Jean-Louis Borloo », les Meldois sont « fiers » d'être les hôtes de cette réunion exceptionnelle. La matinée, consacrée à la politique de la ville, commence par la pose d'une première brique, symbolisant le lancement de la construction d'un nouveau quartier, comprenant « 40% de logements sociaux ». Copé n'oublie pas de s'auto-féliciter des progrès réalisés, lâchant au passage : « Meaux, la plus belle ville du monde. »

La visite se poursuit. Le cortège fait halte dans un nouveau bâtiment où une petite délégation de jeunes patiente. Venus pour « témoigner », ces jeunes plein d'ambition présentent un projet consistant à « monter une mini-structure ». Certains se lancent dans le textile, d'autres dans les transports. Mais des problèmes subsistent. Une jeune fille qui souhaite créer « une entreprise de déménagement avec son mari », évoque « le coût de l'essence, indispensable pour les camions ». Le premier ministre ne réagit pas, ni quiconque autour de lui. Autre problème : des personnes qui ont retrouvé un travail se plaignent de gagner moins désormais, qu'auparavant avec les seules aides sociales. Un « gros problème », d'après le premier ministre, qui sort de son silence. Said Rezeg, le président de l'association Esprit sportif, attendait, lui, « plus d'échanges » avec François Fillon et Fadela Amara.

A 10 heures, le CIV démarre vraiment. La presse n'y est pas conviée. Le temps de faire un tour au marché, d'admirer les tireurs d'élites sur les toits alentours et de bavarder avec les passants. Des passants parfois « surpris » d'une telle démonstration de force ou parfois « heureux de voir le maire faire tant de choses ». C'est le cas du groupe conduit par Annick, retraitée, et fan inconditionnelle de Jean-François Copé, « un homme qui devrait devenir président en 2017 ». C'est leur souhait !

A la sortie du CIV, Fadela Amara se dit « satisfaite ». Nadine Morano en tire « un bilan très positif ». Mais où étaient aujourd'hui la ministre de la justice Rachida Dati et celle de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie ? Leurs ministères sont pourtant au cœur des problématiques des quartiers. C'est l'heure du départ, Nadine Morano, très bavarde et surprenante « avocate » de Fadela Amara, nous dit que « certes, il y avait des absents, mais leurs directeurs de cabinet étaient là ». Nous voilà rassurés !

Mehdi Meklat et Badroudine Said Abdallah

mehdi_et_badroudine -

/20minutes.bondyblog.fr/news/



21/06/2008
5 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 353 autres membres

blog search directory
Recommander ce blog | Contact | Signaler un contenu | Confidentialité | RSS | Créez votre blog | Espace de gestion