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Une double gifle,
En moins de 48 heure, la République Française a reçu une double gifle.
La première est celle qu’à reçue une enseignante du lycée de Tourcoing par une élève à qui elle demandait d’enlever son voile. Ce n’est pas la première fois hélas que ce type d’incident se produit. La nouveauté dans cette affaire est le soutien apporté à la lycéenne par un syndicat étudiant qui envisage de venir manifester devant le lycée.
La deuxième gifle est celle de l’incendie du commissariat de Cavaillon et de quatre véhicules de police.
Ce serait une opération de représailles menées par des trafiquants. Une vaste opération anti-drogue venait de démanteler un important réseau.
Là, aussi, comme à Tourcoing, ce n’est pas la première fois qu’un commissariat est attaqué, ils le sont parfois à coup de mortier.
Ce qui est nouveau, c’est la notion de représailles.
Pour les trafiquants, la police devient une bande rivale qu’il faut éliminer, comme ils le font avec des dealers concurrents.
Le trafic de drogue est un des éléments du séparatisme, ce n’est d’ailleurs pas un hasard si Hamas, comme Hezbollah, se financent par ce moyen.
À Tourcoing, comme à Cavaillon, une même main a giflé la République.
