3146-UN CARTEL DES GAUCHES SOUTENU PAR UNE MYRIADE DE MÉDIAS 2 posts
#MediasCitoyens…- Seulement 28% des Français ont voté pour la coalition de gauche lors des dernières Législatives. Grâce au Front républicain et au suffrage de nombreux électeurs du centre, leur nombre de députés s’est révélé légèrement supérieur à celui des 2 autres blocs sans pouvoir ambitionner - pour autant - de gouverner sans alliés. Incapable du moindre compromis et sans grande intelligence tactique, l’attelage dépareillé n’aura su faire preuve - durant les 2 mois de réflexion présidentielle - du moindre signe d’ouverture envers les autres partis républicains...
LE NFP, UN CARTEL DES GAUCHES
À peine le premier Ministre Michel Barnier nommé par le président de la République, la direction du Parti socialiste se fend d’un communiqué où elle annonce qu’elle censurera immédiatement son gouvernement ; avant même d’avoir pris connaissance du programme qu’il mettra en œuvre et des ministres qui le composeront. Ce PS vengeur, sous influence d’une extrême gauche LFI plus détestée que jamais par les Français, s’enfonce à bas bruit dans la radicalité ; à des années lumières des valeurs républicaines et progressistes longtemps incarnées par ce parti.
De façon similaire, le parti de l’écologie se trouve actuellement dirigé par une personnalité proche des mouvances radicales. Aux côtés des activistes et des groupuscules les plus virulents, elle n’incarne en rien la capacité de compromis mise en œuvre par son alter-égo allemand (qui participe à une coalition par-delà les clivages). Cette immaturité politique éloigne le parti de toute possibilité de gouvernance et conduit, en toute logique, à des revers électoraux en cascade (présidentielles, européennes, législatives).
Enfin, le mouvement d’extrême gauche LFI, mené par un autocrate avide de pouvoir absolu (et personnalité la plus honnie de France), n’a pas grand-chose à envier aux dictateurs sud-américains dont il se revendique. Sans cesse à la lisière de la légalité et de la bordélisation factieuse, ses Insoumis n’ont guère d’autres ambitions que de renverser la République pour y imposer un régime autoritaire osant se revendiquer du peuple.
... SOUTENU PAR UNE MYRIADE DE MÉDIAS
Cette coalition improbable, rongée par ses divisions et arc-boutée derrière un programme irréaliste, se trouve pourtant soutenue par un grand nombre de médias français. À commencer par le groupe Le Monde qui met sa puissance de frappe au service de ce projet ubuesque. En même temps, rien de très surprenant quand on observe l’évolution éditoriale de son navire amiral dont l’immense majorité de la rédaction exècre la démocratie libérale, adoube l’écologie radicale et soutient les combats militants en tous genres (à condition qu’ils luttent contre l’État, l’autorité et les puissants...).
Ce populisme de gauche se retrouve dans les autres parutions du groupe. De l’over-woke Télérama jamais avare de compliments envers les gauches radicales (François Ruffin et Guillaume Meurice y ont leur rond de serviette) au tabloïd d’opinion Huffington post (qui a beaucoup perdu de sa superbe depuis qu’Anne Sinclair en a quitté la direction) en passant par le Courrier International, vivier post-maoïste toujours prêt à soutenir les pires dictatures pourvues qu’elles exècrent l’ennemi occidental et américain.
Mais ce n’est pas tout, le Nouveau Front Populaire peut aussi compter sur L’Obs, news magazine entièrement dédié à sa cause, pour relayer ses thèses farfelues. Du côté des médias publics, la coalition de gauche dispose de précieux soutiens qui émanent de journalistes et émissions acquis à sa cause. On pense notamment à la revue de presse quotidienne de Claude Askolovitch (7-10 de France Inter), à l’émission militante La terre au carré (France Inter), à la rédaction numérique de France Info (massivement au service du NFP), à l’émission de reportages Envoyé Spécial (France 2), au programme quotidien d’extrême gauche VU (sur France 5) ou encore à différentes émissions sociétales de France 5 qui penchent subtilement à gauche.