2976- COMMENT MÉLENCHON ET LFI ONT CONFISQUÉ LA SOIRÉE ÉLECTORALE -3 posts


Médias Citoyens
 
 
COMMENT MÉLENCHON ET LFI ONT CONFISQUÉ LA SOIRÉE ÉLECTORALE -
 
Lorsque l’image apparaît vers 8h20, le téléspectateur peut avoir l’impression d’une faction qui aurait piraté le signal de TF1 et France 2 pour imposer son discours revendicatif. Le chef de clan Mélenchon, flanqué de ses lieutenants Bompard et Hassan (cette dernière en keffieh prête au combat pour la résistance palestinienne) offre un petit air de président de tribunal révolutionnaire devant lequel bien peu de démocrates aimeraient se retrouver.
 
Cette scène surréaliste dure une bonne dizaine de minutes et oscille entre propos d'auto-satisfaction, considérations lénifiantes et vociférations. Le téléspectateur républicain est à ce moment en droit de se demander : Qu’ai-je fais pour mériter cela ? Pourquoi dois-je subir les diatribes du vieux tribun chaque soir d’élections, comme si les résultats n’étaient pas suffisamment pénibles à supporter ? Et surtout, quelle est la légitimité de cet homme qui n’a aucun mandat électif et dont le parti n’a même pas réalisé 10 % aux dernières élections européennes ? De quel droit s’octroie-t-il la parole - au nom du Nouveau Front Populaire - de cette manière en prime time ? Et puis comment se fait-il que Raphaël Glucksmann, arrivé largement en tête de la gauche aux précédentes élections, n’a lui le droit qu’à un duplex d’une minute et 30 secondes - beaucoup plus tard - sans la moindre relance des journalistes ?
Plus surprenante encore, l’omniprésence des figures de LFI sur TF1 et France 2 tout au long de la soirée. Clémentine Autin, Mathilde Panot et Manon Aubry ont littéralement squatté les plateaux et temps de parole en ne laissant que quelques miettes à leurs « partenaires » du Nouveau Front Populaire. Comment expliquer une telle hégémonie ? Comment justifier une telle main mise sur l’espace médiatique du parti le plus radical au détriment des partis modérés de la gauche ?
 

Christophe Cherasse
 
 
Peut-être que la question ose poser est : est-ce que LFI veux vraiment gouverner ? Tout le monde sais que Mélenchon est un repoussoir, en bordélisant l’assemblée, en jouant à tout conflictualiser, LFI est un vrai marchepied pour Bardella.
 
 
Ramona
 
 
On perd Garrido mais on garde l’indigéniste Obono , le mousticophile Caron et le dealer Boyard !!
 
3 responsables du foutoir actuel : les médias qui ont fait du Macron bashing (aucune objectivité dans leurs analyses) , les LR qui n’ont pas voulu d’une coalition pour gouverner alors que leur programme était semblable à Renaissance et le PS, Verts et PC qui se st vendus à la FI
 
 
Ramona
 
 
On peut comprendre que des candidats Renaissance se désistent pour des candidats NFP et on peut comprendre que les électeurs ne suivent pas et refusent de voter FI après avoir été traînés dans la boue par ceux -là mêmes qui sollicitent leurs suffrages !!
 
 
Raphaël Enthoven
 
 
Quand on s'affiche avec la championne de l'antisémitisme pour convaincre de voter contre l'extrême-droite, c'est qu'à défaut de se voir à Matignon, on joue la victoire de l'adversaire. Il ne faudra pas oublier de dire le rôle considérable que LFI - la gauche la plus répugnante
 
 
Francois Loncle
La lepénisation des esprits est la conséquence de la lepénisation d’une grande partie des médias français . 
 
D. de Montvalon
  
#Legislatives va quitter Matignon, « piégé » par le chef de l’Etat. Expérience brève, mais très prometteuse. Il a vocation à être demain un des relais-clés de l’après-Mélenchon, avec le retour en force d’une social-démocratie nėo-rocardienne aujourd’hui en panne.
 
 
 
 
 
 
 
 
Médias Citoyens
 
@medias_citoyens
 
LÉGISLATIVES 2024, LES CLOPORTES MÉDIATIQUES -
 
La quasi totalité des commentateurs, éditorialistes et faiseurs d’opinion ont hurlé à la mort lorsque le président de la République a osé utiliser son droit constitutionnel à dissoudre l’Assemblée nationale. 61% des Français s’y sont pourtant montrés favorables (sondage Opinionway réalisé le lendemain) mais nos champions de la critique acerbe ont quand même passé 3 semaines à vociférer contre ce « président détraqué », ce chef de l’État « devenu fou » ayant osé prendre pareille décision sans même les consulter au préalable (un François Hollande les aurait appelés, lui !).
 
 
CÉLAFOTAMACRON !
 
Quelques semaines auparavant, ces mêmes professionnels du cynisme vomissaient ce président qui ne demandait pas assez l’avis des Français, ce Jupiter totalement déconnecté de la population. Vous imaginez bien que la vitalité des débats politiques générés par cette dissolution, la recomposition accélérée du paysage politique français ou encore le taux de participation élevé annoncé pour les 2 tours (excellent signe démocratique) ; tout cela ne sera pas mis au crédit de cette décision présidentielle. Nos gueulards de service préféreront retenir la « brutalité de ce président », ses désordres psychologiques ou encore son sadisme.
 
BOUH ! TROP NUL LE NI-NI !
 
Logiquement, nos dépressifs chroniques (de gauche) ont fustigé le « ni-ni » du centre politique qui met dos à dos l’extrême gauche de Monsieur Mélenchon et l’extrême droite de Madame Le Pen. Quelle infamie ! Oser considérer qu’un parti à demi-factieux, à demi antisémite puisse être considéré comme d’extrême gauche ! Quelle honte de ne pas adouber - avant même le second tour - ceux qui ont bordelisé l’Assemblée nationale durant 2 ans et demi, ceux qui ont traité des ministres d’assassins ou de violeurs, ceux qui ont chanté à la mise à mort du président ! Alors bien sûr, si les résultats des Législatives ne leur conviennent pas (absence de majorité absolue, insuccès du camp qu’ils soutiennent…) ; et pire si le RN est amené à gouverner, nos gugusses de plateaux TV et autres scribouillards militants sauront accabler le président, seul responsable du vote des 25 millions de Français. Comme ils sauront aussi se défausser de toute responsabilité dans la montée du populisme.
 
TROP NAZES LES PLAYMOBILS !
 
Notons que ces éditorialistes-charlatans dégoisaient déjà contre la majorité absolue et les députés « playmobils » votant les lois lors du premier mandat. Les mêmes journa-clowns déversaient leur fiel sur la majorité relative et le recours - parfaitement légal et constitutionnel - à l’article 49-3, exigeant pour certains une démission du gouvernement (et donc une dissolution !). Heureusement pour leur conscience, nos Tartuffes du journalisme ne se questionnent jamais sur leurs pratiques, n’interrogent jamais leurs inepties et contradictions, ne confrontent jamais leurs opinions d’hier avec celles d’aujourd’hui. Ils continuent à vilipender, à enrager, à haranguer quitte à nourrir - dans des quantités industrielles - le vote populiste.
 
 
 


01/07/2024
3 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 374 autres membres

blog search directory
Recommander ce blog | Contact | Signaler un contenu | Confidentialité | RSS | Créez votre blog | Espace de gestion