Ramona
On peut comprendre que des candidats Renaissance se désistent pour des candidats NFP et on peut comprendre que les électeurs ne suivent pas et refusent de voter FI après avoir été traînés dans la boue par ceux -là mêmes qui sollicitent leurs suffrages !!
Raphaël Enthoven
Quand on s'affiche avec la championne de l'antisémitisme pour convaincre de voter contre l'extrême-droite, c'est qu'à défaut de se voir à Matignon, on joue la victoire de l'adversaire. Il ne faudra pas oublier de dire le rôle considérable que LFI - la gauche la plus répugnante
Francois Loncle
La lepénisation des esprits est la conséquence de la lepénisation d’une grande partie des médias français .
D. de Montvalon
#Legislatives
va quitter Matignon, « piégé » par le chef de l’Etat. Expérience brève, mais très prometteuse. Il a vocation à être demain un des relais-clés de l’après-Mélenchon, avec le retour en force d’une social-démocratie nėo-rocardienne aujourd’hui en panne.
Médias Citoyens
@medias_citoyens
LÉGISLATIVES 2024, LES CLOPORTES MÉDIATIQUES -
La quasi totalité des commentateurs, éditorialistes et faiseurs d’opinion ont hurlé à la mort lorsque le président de la République a osé utiliser son droit constitutionnel à dissoudre l’Assemblée nationale. 61% des Français s’y sont pourtant montrés favorables (sondage Opinionway réalisé le lendemain) mais nos champions de la critique acerbe ont quand même passé 3 semaines à vociférer contre ce « président détraqué », ce chef de l’État « devenu fou » ayant osé prendre pareille décision sans même les consulter au préalable (un François Hollande les aurait appelés, lui !).
CÉLAFOTAMACRON !
Quelques semaines auparavant, ces mêmes professionnels du cynisme vomissaient ce président qui ne demandait pas assez l’avis des Français, ce Jupiter totalement déconnecté de la population. Vous imaginez bien que la vitalité des débats politiques générés par cette dissolution, la recomposition accélérée du paysage politique français ou encore le taux de participation élevé annoncé pour les 2 tours (excellent signe démocratique) ; tout cela ne sera pas mis au crédit de cette décision présidentielle. Nos gueulards de service préféreront retenir la « brutalité de ce président », ses désordres psychologiques ou encore son sadisme.
BOUH ! TROP NUL LE NI-NI !
Logiquement, nos dépressifs chroniques (de gauche) ont fustigé le « ni-ni » du centre politique qui met dos à dos l’extrême gauche de Monsieur Mélenchon et l’extrême droite de Madame Le Pen. Quelle infamie ! Oser considérer qu’un parti à demi-factieux, à demi antisémite puisse être considéré comme d’extrême gauche ! Quelle honte de ne pas adouber - avant même le second tour - ceux qui ont bordelisé l’Assemblée nationale durant 2 ans et demi, ceux qui ont traité des ministres d’assassins ou de violeurs, ceux qui ont chanté à la mise à mort du président ! Alors bien sûr, si les résultats des Législatives ne leur conviennent pas (absence de majorité absolue, insuccès du camp qu’ils soutiennent…) ; et pire si le RN est amené à gouverner, nos gugusses de plateaux TV et autres scribouillards militants sauront accabler le président, seul responsable du vote des 25 millions de Français. Comme ils sauront aussi se défausser de toute responsabilité dans la montée du populisme.
TROP NAZES LES PLAYMOBILS !
Notons que ces éditorialistes-charlatans dégoisaient déjà contre la majorité absolue et les députés « playmobils » votant les lois lors du premier mandat. Les mêmes journa-clowns déversaient leur fiel sur la majorité relative et le recours - parfaitement légal et constitutionnel - à l’article 49-3, exigeant pour certains une démission du gouvernement (et donc une dissolution !). Heureusement pour leur conscience, nos Tartuffes du journalisme ne se questionnent jamais sur leurs pratiques, n’interrogent jamais leurs inepties et contradictions, ne confrontent jamais leurs opinions d’hier avec celles d’aujourd’hui. Ils continuent à vilipender, à enrager, à haranguer quitte à nourrir - dans des quantités industrielles - le vote populiste.