2185- Nouvelle revue de presse 22 posts
Jean-Christophe Giesbert sur Facebook
Les amis, je décroche de Facebook. Vous ne lirez plus mes commentaires, souvent vachards, consacrés à la faune politique hexagonale. Une décision que j’ai prise après m’être gavé d’infos politiques tout l’été. Je n’ai pas résisté à l’overdose de conneries débitées sur tous les sujets, par les imposteurs qui sont censés défendre le bien commun. Je ne supporte plus les fachos de gauche de la France Insoumise, les ayatollahs verts qui nous ont gratifiés cet été d’un festival de nullités rarement atteint à ce niveau. Et je ne parle pas du PS à la botte de ce malade de Mélenchon. Quant à la droite LR, elle est pitoyable à l’image de ce clown de Chiotti qui devrait en prendre les rênes. Et je vous fais grâce de ce que je pense de ces escrocs du RN et de ce tartuffe de Zemmour.
Et le gouvernement, lui? Bof… et rebof : impuissant à enrayer la criminalité qui gangrène la France, à lutter contre l’immigration sauvage, il godille au gré des vents sans proposer un cap à ce pays en déclin qui en aurait tant besoin. Son échec à relancer le nucléaire, longtemps filière d’excellence française, en dit long sur sa coupable légèreté dont nous payons le prix aujourd’hui.
« Bon débarras ! » s’exclameront ceux qui me pourfendaient. Bon débarras, dis-je aussi. Je mettrai le temps libéré par la rédaction de mes billets d’humeur à tant d’activités qui contribuent, elles, à faire de moi un homme heureux : le travail, la lecture, l’écriture de mon prochain roman, la musique, le jardinage, les dialogues autrement plus enrichissants sous le soleil de ma colline gersoise avec mes animaux (ânes chèvres, poules, chien, chats et chevreuils). Sans oublier mes chers arbres auxquels je prodigue tous les jours des encouragements pour les aider à surmonter les effets de la sécheresse.
Et puis, bien sûr, je continuerai à partager de bons moments avec le cercle, le tout petit cercle, de ceux que j’aime.