710-Agir vraiment contre la crise 23 posts

l'intervention de nicolas à la télé est terminée

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remerciements à Chimulus


Delize

Delize


Les socialistes,de retour, étaient présents dans les manifestations de jeudi, dans le Lot comme à Paris,à Toulouse et partout en France.Le succès est évident et comme le soulignait Benoit Hamon, porte parole de la nouvelle direction, "ce n'est pas celui des socialistes,c'est celui des syndicalistes".Les militants du PC du MRC,de LG,du PRG,de toute la gauche étaient à leurs côtés.Franchement, on préfère ça que les critiques acerbes qui déchirent le premier parti de gauche et le triste spectacle que nous offrons.Première grande manifestation républicaine depuis l'élection de Sarkozy,cette journée de manifestation nous lave symboliquement de bien des humiliations subies depuis,ainsi que le souligne l'Anti Fadas, le blog ami.


Les socialistes ne se contentent pas de manifester,ils se sont offert un logo pour la campagne contre la crise, très eightie's voire seventie's parait il.Jugez en:

 ps_logo-badge.1233141721.jpg

Le 21 janvier, lors de la conférence de presse de présentation du "contre-plan de relance", ce logo était bien visible et la direction portait ce badge avec les "patches" sur fond noir ou rose fushia. On dirait que la rose a perdu ses pétales;on peut aussi y voir des partenaires prêts à se rassembler autour de la rose...Il sera distribué aux secrétaires de section demain dimanche lors de la convention qui les réunit avec une clé USB,véritable kit militant en attendant un site internet dédié.


"Nous voulons marquer l'idée que ça bouge, que des idées se développent, qu'il y a du mouvement" explique Gregori Vincens,de l'  agence  4uatre qui l'a crée. Le choix s'est porté sur un style "très graphique" avec une typographie dite "block", fréquemment utilisée pour la réalisation d'affiches militantes.

                                                                                                Marc Baldy

manif Chimulus.jpg

merci à chimulus,dessinateur de presse


Ouest-France:Mélenchon
Le Parti de Gauche est né.


Dans le bus qui mène à Limeil-Brévannes où s'achève, en ce dimanche glacial, le congrès fondateur du Parti de Gauche (PG), deux militants, ex-socialistes, discutent en aparté : « D'après toi qu'est-ce qui distingue le PS du parti de Mélenchon ? »
« Au PS, on te demande ton avis, répond l'autre, mais on n'en tient pas compte. » On croirait déjà entendre le bouillant sénateur de l'Essonne brandir, tout à l'heure, au bout de sa fourche de « révolutionnaire par les urnes », les idées réformistes décapitées par la lame de ses arguments.

La terre tremble autour de Martine Aubry : sur sa droite, elle est secouée par le puissant courant des amis de Ségolène Royal ; sur sa gauche elle est bousculée par une union possible entre Mélenchon (4 000 militants en deux mois), les communistes (qui font alliance), Besancenot (très embarrassé) et plusieurs petites formations.

Un front de gauche crédité de 14,5 % aux européennes. « En quatre mois,on peut gagner six ou sept points ! »

Main tendue à Besancenot

Même corrigé de l'enthousiasme qui salue toute naissance, le PG ne doit pas être négligé. Primo, il ratisse large : des jeunes et des vieux, des babas cool et des socialistes aisés, des prolos et des intellos. Tous républicains et sociaux. Qui font un rêve que le député du Nord Marc Dolez formule en empruntant aux révolutionnaires de 1793: « Le droit au bonheur est une idée neuve !» 

Secundo, son approche, en pleine crise, peut séduire : « On ne peut plus dire : aux uns les luttes sociales, aux autres le combat économique, aux troisièmes la gestion. Il faut faire la synthèse », résume la jeune Elodie Vaxelaire. Qui ajoute : « La croissance n'est pas acceptable tant qu'elle n'est pas neutre d'un point de vue écologique. » Mais gare aux contradictions : que fait-on, par exemple, de l'automobile ?

Tertio, il a un chef et une stratégie : « Nous ne vous proposons pas, lance Mélenchon à Besancenot, de fusionner, mais de faire un front. Camarades, nous vous tendons la main sans conditions, sans préalable, ne la rejetez pas ! »

Les 600 congressistes explosent : « Unité, unité ! » Pourquoi Olivier Besancenot multiplie-t-il les conditions ? Parce qu'il craint de se retrouver dans la situation de gérer les affaires. moins commode que la protestation. le PG, lui, s'affirme comme « un parti de gouvernement » qui va proposer, au Parlement, 29 propositions pour rompre avec le capitalisme. Et parce que le facteur de Neuilly se méfie des alliances, « il n'y aura pas de front avec le PS, lui jure Jean-Luc Mélenchon. Notre adversaire, c'est la droite. Mais nous ne ferons jamais perdre la gauche. Nous pratiquerons toujours la discipline républicaine. »

Michel URVOY.



dessin de Chaunu Ouest-France



Européennes:dur,dur, pour le PS

Martine Aubry a promis dimanche de la «diversité», du «renouvellement» et du «non-cumul» dans la désignation des candidats socialistes aux européennes du 7 juin, à la veille de l'ouverture de la période de dépôt des candidatures en interne. Devant quelque 1.500 secrétaires de section réunis à la Mutualité, elle a notamment souhaité que chaque candidat socialiste s'engage à siéger au Parlement européen pendant toute la durée de son mandat et à ne pas revenir pour les législatives de 2012 «sauf si le parti le lui demande bien évidemment».

Le dépôt des candidatures à partir de lundi ouvre la préparation des européennes au PS. La commission nationale d'investiture tiendra mardi sa première réunion sur cette élection, et adoptera une charte que chaque candidat devra respecter. Des réunions interrégionales sont prévues du 9 au 17 février pour désigner les candidats dans les huit circonscriptions, suivies le 27 d'un conseil national, et le 21 mars d'une convention nationale qui entérinera le programme et les candidats.

Pris en tenaille entre les Verts et le MoDem d'un côté, les listes d'Olivier Besancenot et de Jean-Luc Mélenchon de l'autre, le PS, qui compte 31 sortants, a tout à perdre dans ce premier test électoral pour la nouvelle direction. L'Europe est le sujet qui a divisé les socialistes ces dernières années. Les experts électoraux du PS tablent sur 20 à 24 élus.

Les places seront donc chères, d'autant que Martine Aubry devra laisser des sièges aux amis de Ségolène Royal, à la hauteur des 29% obtenus lors du vote sur les motions du congrès de Reims.

Bras droit de l'ex-candidate, Vincent Peillon revendique une tête de liste. Elu en 2004 dans le Nord-Ouest, il est concurrencé par Gilles Pargneaux, proche de la première secrétaire. Son parachutage dans le Sud-Est est envisagé. Mais Patrick Mennucci, autre lieutenant de Ségolène Royal, brigue la tête de liste dans la région, de même que l'avocat Jean-Pierre Mignard dans l'Ouest. «Hors de question», dit-on dans l'entourage de Martine Aubry. Seule certitude : le delanoïste Harlem Désir conduira la liste en Ile-de-France.(Le Figaro)


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La cote de confiance de Sarkozy baisse de 4 à 5 points en février

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31/01/2009
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