535-Municipales Cahors et Toulouse/19 posts



12h20 Voici la liste Cahors Passionnément au format jpg.c'est à ce même format en pièce jointe qu'il faut m'adresser la photo de la liste Changer Vraiment.

Sandrine:

2ème post

"Expérience et renouveau pour les hommes de la liste Orliac:
Fabrice Diot,cadre infirmier,HenriCollin ingénieur,Philippe Montagne cadre assurances et militant associatif sports,Philippe Cieplik cadre de direction dans le social,Pierre Venries enseignant retraité,Dominique Pujol architecte urbaniste,André Vidal chef d'établissement scolaire,Patrick Vignoboul médecin spécialisé,JLuc Loubières éducateur sportif,Christian Decome ancien chef d'entreprise,Jean Diu chargé d'études DDE,Gilles Michot architecte,
Philippe Mercadier avocat,Georges Guitterez Technicien France Telecom,Henri Castagnède médecin Ostéopathe ancien Maire et conseiller général,Pierre Louis Sennac notaire stagiaire (26 ans)"

1er post

"Sur 33 membres de la liste de Dominique Orliac,aucun sortant sinon la tête de liste elle-même et 4 colistiers candidats voilà 7 ans.
Parmi les candidates,on peut souligner les noms de:
Elisabeth Pébeyre,collaboratrice chef d'entreprise.Béatrice Savournin,commerçante,Camille Vayssières étudiante 20 ans,Josiane Laporte,cadre territorial,Eliss Duplessis orthoptiste,Geneviève Lasfargues secrétaire de direction,Danièle Maury professeur d'EPS,Ann-Marie Bargues professeur de Lettres,Leila Kadri secrétaire comptable,Janine Vitrac animatrice,Carmen Farre professeur des écoles,Monique Pellegry comptable assistante de direction,Isabelle Flourens prof d'EPS,Rosa Ferreira Pereira commerçante,Jocelyne Ferraud,reponsable associatif,Françoise Galou bénévole associatif,fonction publique territoriale."

                                     -°-

La liste de Dominique Orliac est publiée demain mardi dans La Dépêche.J'ai reçu la photo et je l'ai enregistrée.Je n'ai pas encore réussi à la poster sur le blog.Si je reçois celle de Jean-Marc Vayssouze,
j'en ferai autant.

                                    -°-

CAHORS:ROUMEGOUX CONTRAINT DE RETIRER SA LISTE
par les militants réunis samedi à la Bourse.

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Nicolas Sarkozy est "un peu comme Louis XIV", selon Ségolène Royal

EFG

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Société

Nicolas Sarkozy est "un peu comme Louis XIV", selon Ségolène Royal

AP | 14.01.2008 | 10:52

lire_la_suite78http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/societe/20080114.FAP0177/nicolas_sarkozy_est_un_peu_comme_louis_xiv_selon_segole.html

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Toulouse: bientôt totalement rose?


Tenue par la droite depuis 36 ans, Toulouse n'a jamais été si proche de basculer à gauche. Le maire UMP sortant Jean-Luc Moudenc aura fort à faire pour devancer son adversaire, le socialiste Pierre Cohen, soutenu par les Verts, le PCF et quelques Motivé-e-s. Les chiffres sont saisissants: 57 % des suffrages se sont reportés sur Ségolène Royal au second tour de la présidentielle et toutes les circonscriptions de la Haute-Garonne sont tombés dans le giron de la gauche aux législatives. Jean-Luc Moudenc lui-même en a fait les frais en tombant face à une inconnue, la socialiste Catherine Lemorton


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Toulouse Moudenc/Cohen 50/50

                                       °-

3 questions à(par Pascal Jalabert,DDM)

«La campagne sera décisive»

Jérôme Sainte- Marie, directeur de BVA Opinions.

Quels enseignements peut-on tirer de ce sondage ?

Pour la première fois depuis 30 ans un sondage à Toulouse montre que l'élection municipale est très ouverte. C'est le premier enseignement de cette enquête. Le deuxième tient à la bipolarisation. Les listes Cohen et Moudenc recueillent plus de 80 % au premier tour avec un écart de 4 % pas assez suffisant pour être décisif.

Surtout, beaucoup parmi les autres listes risquent de ne pas atteindre le seuil de 5 % indispensable pour fusionner entre les deux tours, ce qui rend plus compliqués les reports pour les deux candidats.

Quels sont les points forts de Moudenc et Cohen à la lecture de ce sondage ?

Jean-Luc Moudenc est crédité d'une forte notoriété, d'une majorité d'opinions favorables à son égard et surtout, il s'est défait de l'opinion très négative qu'expriment les Toulousains à l'égard de Philippe Douste-Blazy.

Pierre Cohen présente un déficit de notoriété par rapport à son challenger que la campagne peut lui permettre de combler, ce qui constitue une réserve. Lui aussi dispose d'une bonne cote dans l'opinion, notamment chez les cadres, les ingénieurs et il a évité le rejet auprès de l'électorat centriste qui affectait et affecte encore François Simon. Cohen récupére 30 % des électeurs de Forget.

Et leurs talons d'Achille ?

Jean-Luc Moudenc pâtit du contexte nationa, surtout auprès des Toulousains installés depuis moins de 20 ans. Mais l'étiquette UMP le prive de voix de Forget au second tour. Pierre Cohen souffre d'une faible implantation chez les personnes âgées (voir encadré) et il n'est pas certain de faire le plein des deux autres listes de gauche.

Le jeu s'annonce donc très ouvert. La campagne sera décisive tant sur les aspects locaux que nationaux.

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Un sondage BVA La Dépêche sur Les municipales à Toulouse,m'est communiqué ce soir.Embargo jusqu'à 22heures,je peux donc publier.

premier tour:

Myriam Martin (Extr.g)          4%

François Simon (Alternatifs)   5%

Pierre Cohen PS,PC,PRG,      39%

Forget (Modem)                    5%

Moudenc UMP                       43%

Riey(FN)                                4%

Deuxième tour:          Cohen 50%

                               Moudenc 50%

Société générale:



Relâchement ? Inadvertance ? Ce "grand corps malade" n'a, semble-t-il, rien vu venir de la catastrophe. Si un trader seul a pu perdre 4,9 milliards d'euros, c'est-à-dire contourner tous les processus de sécurité mis et place et contrôlés, audités, par l'Inspection, sans que les contrôleurs ne s'en rendent compte à temps, il y a comme un problème. Ils ont même du souci à se faire. Et ils ne sont pas les seuls.

Ironie de l'histoire : rappelons que la Société Générale a été élue « Banque de l'année » et « Meilleure banque française » par la prestigieuse revue Euromoney en juillet 2006 et qu'elle a été pour la 2e fois consacrée « banque de l'année en France »The Banker en décembre 2006. Aujourd'hui, elle décroche le titre peu envié de recordman de la « plus grosse fraude du siècle ». C'est ce qui s'appelle tomber de son piédestal. Bakchich

dessin Delize Yahoo cartoons

Le beau chapeau du trader ...



Faites ce que je dis... ...

Les Non dits d'un Scandale d'Etat

Bakchich.com

La version officielle du PDG de la banque sur son trader isolé et incontrôlé, qui lui aurait fait perdre 4,9 milliards d'euros, ne résiste pas à l'analyse des faits, estime Jean Montaldo, auteur du « Marché aux voleurs » (Albin Michel, 2003). Selon lui, elle masque une crise plus grave et des responsabilités plus larges. D'abord, les risques financiers ont bien failli faire sauter la banque, lundi 21 janvier. Ensuite, la Banque de France et les autorités de marché en savaient forcément plus long qu'on ne le croit. Accrochez vos ceintures !

Extraits(voir le texte complet sur bakchich.com)


L'affaire de la Société générale explose comme un volcan dont les courants de laves menacent de ravager nos économies. Le monde de la Finance est atterré, celui de la politique bouche bée et la presse enflammée.

Cependant, nul n'a vraiment pris la mesure du cataclysme financier qui vient de survenir, amplifié par les déclarations invraisemblables de Daniel Bouton, le PDG de l'établissement « victime »… sauvé in extremis de la banqueroute par ceux là même qui ont pour mission d'empêcher les gymnastiques frauduleuses.

Monde pitoyable de la Finance… où les autorités de contrôles — une nouvelle fois ! — montrent leur incapacité à appliquer aux plus puissants intervenants les règles strictes qu'elles imposent au commun des mortels. À commencer par la Banque de France qui , 5 jours durant — du 19 au 23 janvier 2008 (au matin) —, a poussé le culot jusqu'à cacher au Président de la République Nicolas Sarkozy et au Premier ministre François Fillon les risques encourus par l'une des plus grandes banques françaises, avec en toile de fond des dommages immenses pour la bourse française et ses homologues européennes.

Histoire incroyable… qui, telle que présentée dans un flou artistique impressionniste par l'état-major de la Société générale, ne résiste pas à l'analyse.

La version fantastique du Pdg

La version des évènements donnée au public, en fin de matinée du 24 janvier, par le PDG de la Société Générale, Daniel Bouton, ne paraît pas coller à la réalité, du moins celle qui ressort de mes connaissances et recherches actives : « Les transactions sur lesquelles la fraude a porté étaient banales - une position à la hausse des marchés actions - mais dissimulées par des techniques extrêmement sophistiquées et variées », écrit-il à ses actionnaires et clients, le 24 janvier. Non sans ajouter une information qui fait tilt : « J'ai bien évidemment informé M. le Gouverneur de la Banque de France et M. le Secrétaire Général de l'Autorité des Marchés Financiers [AMF] dès que j'ai eu connaissance de la situation, le dimanche 20 janvier. La perte subie est très importante. Toutes les mesures ont été prises sur le champ pour la circonscrire. Les failles des procédures de contrôles ont été identifiées et corrigées pour éviter tout nouveau risque de nature comparable. »

Explications un tantinet courtes et pour le moins fantastiques, voire inquiétantes. Car on y omet de faire état des dispositifs de contrôles stricts mis en place - au-dessus de l'ensemble des établissements financiers - pour empêcher qu'un ou plusieurs aigrefins (ou mauvais génies) puissent polluer les écritures des grandes industries financières.

Appartenant à la galaxie des départements spécialisés de la Banque de France, ces instruments complètent ceux des banques intervenantes… avec pour mission de les surveiller, de jour comme de nuit. Et de repérer, par des observations permanentes et croisées, tout manquement aux règles de prudence et de bonne gestion, a fortiori lorsqu'il s'agit d'opérations portant sur des montants faramineux. Ainsi, si des « failles » ont affecté les « procédures de contrôle » de la Société générale, comment expliquer que les moyens de contrôle (réputés inviolables) de la Banque de France n'aient pas fonctionné ?

Arrêtons les non-dits… et venons-en à ce qui fâche : au-delà de la Société générale, tout un réseau ramifié est en cause. Puisque le ministre des Finances, Mme Christine Lagarde, doit donner, « sous huit jours » au Premier ministre, « toutes les indications sur la manière dont les choses se sont passées, de manière à ce qu'on puisse, le cas échéant, proposer des solutions », voici celles que je lui soumets… pour l'y aider.

Pourquoi et quand la Générale a failli sauter

Remontant dans le temps, j'observe, en premier lieu, que par la grâce de la Banque de France et de l'AMF, le pire aura été évité… avec une perte « limitée » à 4,9 milliards d'euros (ou 7,2 milliards de $ US).

Ce trou béant dans la caisse de la Générale a été causé par des engagements démentiels et présumés « frauduleux » que j'évaluais le jour même de la révélation du scandale (le 24 janvier), à au moins 50 milliards d'euros. Somme astronomique, supérieure de 20 milliards d'euros aux fonds propres de la banque !

Apprendre, de surcroît, que ces engagements sont intervenus sur les marchés hautement spéculatifs des « futures » laisse pantois. Comment peut-il se faire qu'une banque de cette dimension puisse permettre qu'un golden boy novice (Jérôme Kerviel, 31 ans… et toutes ses dents) la gave, sans qu'elle ne s'en aperçoive, d'« options à terme », de bouts de papiers empoisonnés revenant à spéculer comme un laquais sur les actions de grandes entreprises cotées et (ou) sur les indices, tel celui du CAC 40 ?

Enregistrées, les pertes de 4,9 milliards d'euros sont là, bien réelles… dont aucun des protagonistes ne peut se laver les mains. Mais on omet de dire que, sans le bon vouloir des autorités de contrôles de la bourse et des institutions financières, au matin du lundi 21 janvier, avant l'ouverture des marchés, la Générale n'aurait pu échapper à une chute aux enfers, avec des dégâts considérables.

Dans le plus grand secret, lors de réunions tenues pendant le week-end des 19 et 20 janvier 2008, la Banque de France et de l'AMF lui ont donné leur aval pour que soit cachée aux investisseurs l'étendue de ses prises de risques engagées par le « trader » Jérôme Kerviel.

En effet, le matin du lundi 21 janvier, après plusieurs fortes baisses partout dans le monde (à New York le vendredi, puis sur toutes les places asiatiques), la journée boursière s'annonçait avec un avis de tempête. Dans de telles circonstances, annoncer à l'improviste la situation réelle et désastreuse des engagements de la Société Générale — découverte officiellement durant le week-end —, aurait immanquablement provoqué, à Paris et dans toute l'Europe, un vent de panique effroyable.

Dans un tel contexte — où les rapaces ne s'encombrent pas de bonnes manières —, la plupart des intervenants, à commencer par les autres établissements bancaires, auraient évité de se positionner à l'achat sur des marchés en pleine ébullition. Du moins avant que ne soit apuré le carnet d'ordre de vente, gonflé à hélium, de la Générale.

Nombre de prédateurs n'auraient pas manqué de se positionner à la vente (sèche ou à découvert, puisque le marché le permet !), pour accompagner le mouvement de baisse, tenter de « se refaire » à bon compte dans l'œil du cyclone boursier, autant dire se remplir les poches à bon compte… dans un « Cycle de Bethe », comme disent les astronomes pour désigner les réactions nucléaires dans les étoiles.

Prise au piège, la grande banque aurait eu toutes les peines du monde à se délester de sa cargaison pourrie, face à des salles de marché excitée par l'odeur du sang de la Générale et de sa tirelire bourrée à craquer de centaines de milliers de titres spéculatifs et à fort effet de levier : ceux sur lesquels le jeune Jérôme Kerviel — dont peu de gens connaissent, pour l'heure, sa version des faits — intervenait tout seul, nous assure-t-on, sachant qu'il pouvait multiplier ses gains ou ses pertes à la vitesse d'une météorite.

À n'en pas douter, si, conformément au règlement qui régit les institutions financières, la Société générale s'était vue imposer par ses pairs d'informer sur le champ les investisseurs des risques suspendus au-dessus de sa caisse, ce noir scénario lui aurait fait connaître l'abîme, une bonne part de ses 30 milliards d'euros de fonds propres étant menacée de partir en fumée. Je rappelle que ce lundi 21 janvier, la bourse de Paris baissait de quelque 6%, à l'unisson avec ses homologues européennes. Et que les mêmes secousses telluriques se répétaient le mercredi 23… tandis que la Générale continuait de vendre à tour de bras, en catimini et à perte, les options d'achat accumulés par son golden boy suspendu.

Tel est le désastre qui serait intervenu si, au long des trois journées fatidiques (des 21 au 23 janvier) — et en plus de la crise des « subprime », à l'origine de la dégringolade des actions sur toutes les places du monde —,était venu s'ajouter l'annonce des difficultés dantesques de la troisième banque française, au demeurant connue comme la première intervenante sur les marchés mondiaux des « produits dérivés » (les fameuses options acquises par son « trader » "isolé").

Tel est le massacre à la tronçonneuse auquel la Société générale a échappé… grâce à la Banque de France… qui aurait dû tout empêcher.

La Banque de France devait tout savoir........

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À cette date, le scandale est déjà découvert. Mais on a décidé de le garder secret… pour permettre à la Générale (en péril) de liquider « au mieux », sur des marchés qui n'en peuvent plus — puisque subissant de plein fouet la débâcle boursière mondiale —, les wagons de titres spéculatifs d'un unique « trader »… saisi par la folie des grandeurs. Jeune homme qui, sans esprit de lucre nous assure-t-on, se serait prêté à la danse du scalp… au nez et à la barbe de son employeur et de ses puissantes autorités de surveillances.

En d'autres termes, le scénario que vient de nous fournir la Société générale, avec l'aval de la Banque de France, ne tient pas ! Copie à revoir.






25/01/2008
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